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... en voyant la tronche de mon gâteau à la rhubarbe !
Le lien qui nous unissait n’aurait pas été compris de tout le monde. Sans enfant, tu nous avais adoptés, et tout simplement, tu es devenue notre Parent-Pote.
Avec toi, on pouvait rire de tout. Tu nous apprenais à cuisiner, à bricoler, à penser, à savourer, à lutter et à espérer.
Tout dans ma maison, un peu chez toi, semble aujourd’hui me rappeler ta présence. C’est douloureux, et pourtant, je me raccroche à ces petites choses, au cas où demain tu nous annoncerais à nouveau : « Vous m’hébergez encore un peu chez vous ? » Oui, oui ,oui !
Ton courage et ton espoir avaient réussi à nous persuader que tu étais insubmersible. Tu me donnais la force de vivre avec Mme Syringo, au Chef de se sentir meilleur, à Kiki d’avouer ses faiblesses.
Nous nous souviendrons de ton entrain, de ta gourmandise, de ton enthousiasme. Nous nous en inspirerons dans les moments difficiles et nous nous serrerons les coudes « parce qu’on est une famille ».
Tu me manques... je t’aime ma Poulette.
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